♣♣ Lily Templeton
17 ans, barman, sans famille.


crédits; saycrackagain lj
interprété(e) par Abbey Lee Kershaw

1) hier & aujourd'hui •

♣ histoire ; (nous demandons au moins 25 lignes)

La vie n’est que dérisoire. La vie n’est qu’une part de chance ou une part de malchance. Nous ne choisissons pas l’environnement dans lequel nous vivons. Nous ne choisissons pas notre entourage. Lily est une adolescente victime des aléas de la vie.
« Mon enfance n’a été qu’un sombre cauchemar. Chaque instant je fermais les yeux, je m’efforçais de me réveiller, je voyais mon âme quitter ce corps, quitter cette vie absurde qui n’a aucun sens… J’essayais, je vous promets. Je vous jure j’ai essayée. Mais le cauchemar a été plus fort que moi.
Quand j’étais âgée de onze ans, j’avais trois souris. Quelques fois je descendais de chez moi et j’allais jouer sur une pelouse appelée pelouse interdite. Un après midi j’allais jouer avec une d’entre elles sur la pelouse interdite. Avec mon petit frère, nous ne la retrouvions pas. Je me souviens comme j’étais triste mais je me consolais en pensant qu’elle était sans doute plus heureuse que dans sa cage derrière les barreaux. Juste ce soir-là, mon père vient dans notre chambre, regarde la cage à souris et s’exclame : « Mais, elles ne sont que deux ! Où est la troisième ? » Je n’avais aucun pressentiment tant sa question me paraissait drôle. Il n’avait jamais aimé les souris et il me disait tout le temps de m’en débarrasser. Je lui ai expliqué que la souris s’était sauvée du terrain de jeux. Mon père me regardait d’un air absolument dément. Je comprenais que d’ici trente secondes, il ne se contrôlerait plus. C’est alors qu’il s’est mis à hurler et à taper. J’étais au lit. Coincée. Impossible de me sauver. Et il tapait. Il n’avait jamais frappé aussi fort, je pensais qu’il allait me tuer. Quand il se détourna pour foncer sur mon frère, je bondissais instinctivement vers la fenêtre. Je crois que j’aurais sautée, du onzième étage. Mais mon père me rattrapait puis me jetait sur le lit. Ma mère, pour changer, était debout, en larmes, sur le seuil de la porte. Je ne la voyais même pas. Je ne la voyais que quand elle se jetait sur mon père et moi. Elle lui tapait dessus à coups de poing. Mon père perdait complètement les pédales. Il traînait ma mère dans le couloir, sans arrêter de la tabasser. Brusquement, je n’avais plus peur pour elle que pour moi. Elle essayait de lui échapper et de s’enfermer dans la salle de bains. Mais il l’empoignait par les cheveux. Comme tous les soirs, du linge trempait dans la baignoire – nous n’avions toujours pas de quoi nous payer une machine à laver. Mon père plongeait la tête de ma mère dans la baignoire pleine d’eau. Je ne sais pas comment elle est à se dégager, si c’est mon père qui l’a lâchée ou si elle s’est libérée elle-même. Mon père, livide, disparaissait dans la salle de séjour. Ma mère ouvrait le placard, prenait son manteau et s’en allait. Sans prononcer une parole. Ces souvenirs restent l’un des moments les plus terribles de mon existence, cette minute où j’ai vu ma mère partir, sans un mort, et nous laisser seules. Pendant quelques instants, je n’étais capable de penser qu’à une chose : Il va remettre ça, recommencer à cogner. Mais rien ne bougeait dans la salle de séjour. Le seul son perceptible était celui de la télévision.
Je me trompais, il n’a jamais remit ça. Il a fait bien pire. J’ai d‘ailleurs beaucoup de mal à en parler. Quand notre mère nous a quittés, Basile et moi étions comme perdue. Il avait neuf ans à l’époque et ne savait pas trop ce qu’il se passait. Mon père a profité de cela. Il a profité de moi. Rien. Ni personne.
Je préfère passer sous silence ce moment de ma vie. On va dire qu’après cette tragédie j’ai convaincue mon frère de me suivre. Nous nous sommes alors enfuit de cette immeuble à vingt étages. Je savais pertinemment que je ne le reverrais pas. J’ai mentie. J’ai osée dire à Basile que nous reviendrons, que ce n’était que quelques semaines de vacances et rien d’autre. Quelques jours après, j’ai lue dans le journal de notre village un avis de décès concernant mon père. Il était mort dans la nuit du 24 aout 2005. A la lecture de cette nouvelle, je n’ai ressentit aucune tristesse, aucun sentiment. Rien. Ce monstre que j’avais considéré trop longtemps comme mon père était mort et j’en étais amplement soulagée. Je ne l’ai jamais dit à mon petit frère, il n’avait pas besoin de savoir que son père était mort.
Puis nous avons fait route vers Sydney dans l’espoir de recommencer une vie, notre vie. Nous étions énormément soudés avec mon frère et je pense que c’est ça qui nous a sauvés. Une foi arrivé à Sydney, j’ai eu la merveilleuse idée. Enfin à présent je ne sais plus trop si cette idée a était bonne. Nous nous sommes rendu avec Basile dans un cabinet d’assistante sociale afin e trouver un logement. Cette vie ne pouvait plus durer, dormir dans les ruelles de Sydney n’était pas le meilleur de monde. Et surtout, je ne voulais pas que mon petit frère vive ainsi. Suite à cette visite, j’ai été placée dans une famille d’accueil. Mon frère et moi avons été séparés. J’ai cependant gardé contacte avec lui, j’avais son adresse. Quand j’ai été le voir pour la première foi dans sa famille d’accueil, j’étais joyeusement surprise. Il vivait dans une humble demeure dont tout le monde rêvait. Cette famille l’adopta. Tandis que moi, je voyageais de famille d’accueil en famille d’accueil. Je sombrais dans l’alcool puis dans la drogue. J’étais devenu dépendante. Je le savais mais je fermais les yeux sur cette réalité. Je n’osais pas me voir tel que j’étais. Je ne sais pas pourquoi j’emploie les temps du passé car à présent, je suis toujours dépendante. Ma vie n’est pas rose, mais je ne m’en plains pas. Je suis ainsi et je ne cherche en aucun cas à changer.
Aujourd’hui je vis dans une famille d’accueil appréciable. Cette famille a développée pour moi un attachement tout particulier. De mon coté, je les aime bien. Mais je ne suis pas souvent chez eux, je travail la nuit dans un bar pour gagner de l’argent. Cet argent je l’utilise à usage personnel et j’essaye de placé un peu de sous de coté pour l’an prochain à mes dix huit ans quand je ne serais plus sous la tutelle d’une famille. Je pense néanmoins que je les reverrais. »

2) quelques informations •

♣ caractère ; (nous demandons au moins 10 lignes)

« Je n’ai jamais été très forte pour me décrire. A vrai dire, je ne sais même pas ce que je suis »

Lily est une adolescente qui est passé par divers caractère. Elle a beaucoup changé dans ses cinq dernières années. Et je ne suis même pas sûre qu’on puisse admettre que son caractère présent va être son caractère définitif. Je vais quand même vous avouer quelques détails sur sa manière d’être. Mais sachez que ceci reste provisoire et qu’il est possible qu’il tombe de syncope. Son premier atout, si on peut le considérer comme tel est sa franchise. Elle l’est peut être même un peu trop. La franchise peut être une qualité mais elle peut aussi bien être un défaut. Est-elle gentille ? Aimante ? Charmante ? Je n’en sais rien. Mais parait-il que La franchise est le moyen le plus déguisé d'être malveillant à coup sûr. Alors je me tente à supposer que non. Cependant Mme est une femme forte ! Combattante à coups sur. Bien que son passé ne le montre guère, avec son ascension aux drogues à l’alcool, il faut croire que Lily n’était pas forte en tant que jeune fille réservé, poli et incertaine. Certes, Lily a beaucoup changé. Elle n’est plus ce qu’elle était. A présent vous avez devant vous une adolescente sur de soit qui n’hésite. Cependant elle reste très impulsive et imprévisible. Dépourvu d’un entourage correct, elle reste une adolescente vulgaire aussi bien dans l’habillement que dans le comportement et dans le langage. Elle sait se montrer drôle à chaque occasion et en particulier dans ses moments d’évasion qui reste très fréquent. Nous pouvons même dire qu’elle se voit obliger de rire pour remédier à ses pensées atroces qui la hantent tel que celles de son père biologique. C’est ainsi qu’elle le nomme. Elle ne supporte pas l’autorité et quand il y a quelque chose qui lui déplait ou que tout ne se passe pas comme prévu elle devient très vite capricieuse et peut se laisser emporter par la colère. C’est alors qu’elle peut s’avérer rapidement râlante. J’allais oublier une partie d’elle qui ne la lâche pas depuis le berceau. Elle est tête en l’air. Extrêmement, dirais-je. Combien de foi a-t-elle du refaire ses clefs de maison ? C’est un handicape pour elle mais probablement un avantage pour les autres qui lui doivent quelque chose. Séductrice quand elle le veut, elle s’avère charmante et attachante. Une vraie sirène, elle a de bons arguments et elle peut être très persuasive. Son caractère le plus caché est le fait d’être lunatique. Difficile de côtoyer une personne si imprévisible. Elle tente malgré tout de cacher cette face d’elle qu’elle trouve très repoussant. Mais après tout, on a tous des défauts et elle n’a pas à s’en faire.

♣ goûts ; (nous demandons au moins 8 lignes)

« On me reproche le goût de la drogue. Je suis plus accoutumé à mes défauts qu'à ceux d'autrui. »

Elle aime beaucoup de chose. Mais ce qu’elle aime le plus au monde s’est s’abandonné à un univers unique : celui où la drogue te porte. En dehors de cela, elle aimerait s’enfuir en Europe avec un ami à elle où les relations sont ambigües et incertaine. Elle n’aime pas l’Australie et ne supporte plus d’y vivre. Sa vie à elle c’est la soirée et tout ce qu’il y a dedans : la musique, la drogue, l’alcool… Ce n’est pas très responsable mais personne n’a dit que Lily était une personne responsable et dévouée à œuvrer pour les biens de l’humanité. Coté nourriture elle raffole des fraises tagada, des bonbons incarnés par le diable selon elle. Elle mangerait des tonnes qu’elle n’en serait toujours pas écœurée. Les oursons en chocolat font partie de ses délices. Elle adore les îles flottantes accompagnées d’ourson en chocolat que l’on trempe dans la crème anglaise pour peaufiner le tout. Puis si nous suivons la célèbre phrase : le meilleur pour la fin. Disons que Lily aime la cocaïne et Adam. Ils vont ensemble ces deux là. Pour un prix de groupe, Lily trouve le tout plutôt pas cher et elle en profite. Ce cher Adam lui fournit ses remontant pour la journée, elle en profite pour passer de bons moments. Elle aime bien se trouver en sa compagnie, rire avec lui. Ces deux là se sont trouver et bien qu’ils refusent d’admettre que l’un n’est rien sans l’autre ils sont très attachés. Parfois, il arrive que ces deux jeunes se chamaillent. Quand elle est lunatique, elle ne le supporte plus et vise versa. Lily ne supporte pas le soleil. Elle préfère la neige, le froid, elle y aspire. Si elle va en Europe elle aimerait bien skier en Italie. Ah ça non, elle ne refuserait pas devant une proposition de cette taille. Lily n’aime pas les chiens, qu’ils soient gros ou non, elles les détestent. Ces boules de poils répugnant n’ont rien à faire dans ce monde. Elle ne voit pas à quoi ils servent et le monde se porterait bien mieux sans eux. Ceci est son opinion. L’autorité est bien entendu son cauchemar. Elle ne peut pas envisager de vivre dans les contraintes, d’être dans une famille d’accueil qui se préoccupe trop d’elle n’est pas un plaisir. Elle semble se trouver suffisamment autonome pour être embarrassée de gens dont l’autorité lui porterait bons présages. Je vis ma vie, Vivez la votre. Dirait-elle.

3) derrière l'écran •

♣ Je suis une fille, j'ai 17-18 ans. Mon pseudo c'est Jey La célébrité que j'ai choisi est Abbey Lee Kershaw Je pense pouvoir me connecter 3/7. J'ai connu le rpg grâce à PRD Des commentaires ? Ben c'est mon deuxième compte donc le code je l'ai déjà donné mais j'ai la flemme d'aller le rechercher xD Et le code du règlement est ...............

Dernière édition par Lily Templeton le Lun 25 Avr - 13:40, édité 17 fois