Abi voulait jouer avec les mots, elle s'attaquait à la mauvaise personne, il était avocat alors il était sur de la détruire à ce petit jeu, c'était son boulot de faire ça. Walter était vraiment froid, il ne la regardait pas parce que ça ne ferait que l'énerver encore plus, elle ne l'écoutait pas, elle croyait qu'elle avait toujours raison, ce qui était faux.

_ Si, tu me domines et le pire c'est que tu ne te rends comptes de rien.

La rouquine avait une emprise importante sur lui, elle controlait quand il sortait, ce qu'il faisait avec les enfants avec elle, elle allait jusqu'à lui faire la morale quand il faisait une connerie, c'était pas un truc qu'un couple faisait. En plus aujourd'hui elle décidait de controler le sexe, c'était bien la seule chose sur laquelle il avait un peu son mot à dire avant, mais maintenant il devait se contenter d'un sachet de petit pois avec son pénis douloureux.
Walter prit un peu sur lui, il était en colère elle aussi, mais cette nuit devait être un test pour toutes les suivantes qu'il passerait ensemble. Ce n'était pas jolie, il y avait du tort des deux côtés alors il essaya de se calmer et regarda sa femme sans une once de sourire.

_ Tu veux toujours dormir là ?

Dans un sens, il voulait qu'elle dise non et qu'elle reparte, mais dans un autre son coeur d'amoureux voulait qu'elle dorme avec lui, juste dormir s'il le fallait. Petit pénbis Waltérien avait eu sa dose de douleur pour se soir, il ne voulait pas l'abimer plus que ça.

_ Je vais aller dormir, si tu veux tu peux venir.

_ T'aime pas quand je me plains, tu m'envoies balader.

Walter n'était pas gentil avec sa femme, il n'avait jamais eu à se plaindre jusqu'à aujourd'hui, et s'il le faisait là, ce n'était même pas parce qu'il avait une raison, il était juste en colère et attristé de voir à quel point elle ne lui faisait pas confiance. Il ne faisait pas tout bien, mais elle était loin d'avoir un comportement modèle aussi. Le jeune homme finit par se redresser dans l'intention d'aller se coucher et il lui demanda si elle voulait toujours rester, il ne voulait pas se réveiller demain matin et s'apercevoir qu'il avait dormi seul... il était juste en colère, pas au point de haïr sa princesse quand même. La phrase qu'elle lui balança lui glaça le sang, il ne pouvait rien répondre à sa, il l'avait viré sous le coup de la colère et après c'était elle qui s'était enfuie avec les enfants. Il ne supportait pas qu'elle lui fasse porter le chapeau pour ça alors il fila dans leur chambre sans dire un mot de plus. Les petits pois finirent à la poubelle et il se coucha de son côté du lit en se mettant vraiment au bord, moins il la toucherait, plus elle serait heureuse et en plus il n'aurait pas à repenser à cette phrase qu'elle avait dit. Mais ce n'était pas gagné parce qu'elle tournait déjà en boucle dans sa tête, elle le voyait comme celui qui l'avait foutu dehors alors qu'il n'avait jamais voulu ça.

_ T'es injuste... tu es parties avec les enfants.

Walter pouvait encaisser beaucoup, mais parfois, certains jours, il n'y arrivait pas. Dans ces moments là il se renfermait et gardait les choses pour lui, préférant retenir un maximum sa colère et sa tristesse. Abi avait beau le connaitre, elle ne semblait pas le voir, elle semblait être aveugle dans son domaine depuis quelques temps alors quand il fut temps d'aller se coucher il y alla sans se faire prier. Le jeune homme s'installa de son côté, il aurait du dormir, pourtant il répondit à la phrase qu'elle lui avait dit un peu plus tôt au salon et encore elle l'accusa, mais il n'en pouvait plus de se faire marcher dessus, il avait souffert quand elle était partie, il avait juste besoin de temps et de soutien à ce moment là. Abi n'était jamais revenu vers lui, elle était allée avec Harry.

_ Tu m'as annoncé que tu te prostituais !! J'étais sous le choc.

Peut être qu'elle verrait ça d'un mauvais oeil qu'il se cherche des excuses, et il pouvait le comprendre. Il voulait juste qu'elle voit son point de vue, parce qu'il en avait un. Combien de maris ferait revenir leurs femmes dans leurs vies après une histoire pareil ? Zéro probablement, pourtant il voulait bien, il l'aimait toujours autant et ce n'était pas parce qu'il avait besoin d'une femme, il pouvait avoir toutes les femmes qu'il voulait, c'était parce qu'il était amoureux d'elle. L'ambiance était vraiment tendue, Walter voulait partir et retourner dormir sur le canapé, mais s'il faisait ça, elle allait le tuer et l'accuser encore et encore alors il s'assit juste dans le lit pour parler, ok cracher tout ce qu'il avait en tête sans mettre de forme.

_ C'est vraiment ce que tu veux pour nous ? Toi me faisant la morale sur ce que je suis à longueur de temps. Je suis un parfait crétin et j'aime le sexe, et si sa t'avait posé un vrai problème, t'aurais divorcé il y a bien longtemps parce que je ne te l'ai jamais caché.

La discution était arrivée, ils étaient au lit, un peu énervé l'un sur l'autre, mais au final, s'ils parlaient c'est qu'ils voulaient que sa s'arrange entre eux. Il n'y avait plus de mots méchants, juste de la sincérité et un peu de peine.Abigaïl lui sortit un long discours sur ce qu'il aurait du faire au lieu de l'attendre. Prendre une nouvelle femme ne lui avait même pas traversé l'esprit tellement il l'aimait, elle ne semblait pas le comprendre, pourtant il le lui répétait souvent, il n'aimait qu'elle.

_ Mais les autres elles ne sont pas toi.

C'était une phrase un peu enfantine, mais très sincère. Pour la dire, il s'était tournée vers elle et grâce à la lune il pouvait la voir, il se rapprocha d'elle et posa ses lèvres sur les siennes. Il était tout tendre et lui attrapa le visage avec ses mains avant de la faire venir s'allonger tout contre lui. Le grand brun arrangeait les choses doucement, il mettait de la glue partout pour souder son couple au mieux, mais il était quand même un homme enfant qui avait parfois du mal à s'exprimer. Sa rouquine était vraiment proche de lui maintenant, il la regardait encore et encore et ne voulait plus la perdre. Ce n'était pas gagné parce qu'elle était presque nue, il l'était et qu'elle était très sexy, son érection revint, mais cette fois il n'en était pas fier pour de vrai et se sentit obligé de reculer un peu pour qu'elle n'ai pas à la sentir.

_ Tu as le droit de le briser cette fois.

Walter essayait de se rattraper, il savait qu'il n'était pas doué avec les mots, mais il devait essayer, il ne pouvait pas la perdre encore une fois. Quand il avait appris qu'elle s'était prostituée, il l'avait juste viré sur un coup de sang, et il aurait pu ne pas la reprendre, mais ce n'était pas lui, il l'aimait. Abi lui avait vivre deux décénies de bonheur, ce n'était pas négligeable, elle lui avait donné 5 enfants, elle était sa ligne de rive.

_ Personne n'est mieux que toi.

La rouquine se dévalorisait beaucoup, il n'aimait pas la voir comme ça et il se sentait responsable. Le jeune homme voulait la voir être la femme joyeuse et innocente qu'elle était avant, cette personne qu'il aimait tant. Il se retourna vers elle et l'embrassa avant de l'attirer dans ses bras. Il se retrouvait, les gestes étaient toujours plus explicites que les paroles avec lui de toutes façons. Tout allait pour le mieux avant que son érection ne revienne et cette fois Abi en rigola et alla même sous la couette pour lui faire une gaterie. Il n'en voulait pas, contrairement à l'heure du bain, il n'était pas sur que du sexe maintenant pourrait tout résoudre.

_ Non ! Abi, s'il te plait.

Walter la fit revenir tout contre lui en remontant son boxer, il était hors de question qu'elle fasse cela comme ça. Il devait être capable de passer une nuit sans sexe, il l'avait fait un tas de fois, surtout ses derniers temps. La rouquine lui avait dit qu'elle n'était pas là pour ça, il devait respecter ce qu'elle voulait.

_ Tu m'as fait promettre de pas demander pour du sexe, j'ai envie d'essayer de tenir mes promesses pour une fois.

Abi était la personne la plus importante dans la vie de Walter, il ne svaait pas ce qu'il ferait sans elle, probablement rien. Il avait besoin d'elle pour élever leurs enfants, pour sourire tous les jours, fin pour tout, il ne se posait pas de questions quand elle était prêt de lui. Il n'avait pas vu la prostitution comme un partage, sinon il auriat pété un plomb, il essayait de voir ça comme un plan foireux qu'elle avait accepté à cause d'une faiblesse d'antant. Le jeune homme voulait que sa famille soit heureuse, mais ce n'était jamais simple. En plus tout se compliqua quand il eut une érection, ça pouvait arriver à tout le monde, mais là il aurait préféré que se soit à quelqu'un d'autre. Il était mal à l'aise, pas fier de lui et quand Abi voulut lui faire une gaterie, il dut juste couper court à tout. Il voulait qu'elle s'occupe de lui, mais pas comme ça, il pouvait voir qu'elle en avait pas envie, il allait devoir prendre sur lui et attendre qu'elle soit prête.

_ Je suis sur.

C'était une décision difficile à prendre, surtout avec sa rouquine si peu habillé près de lui, mais il l'avait prise en pensant à ce qu'il allait gagner grâce à ça. Il se rallongea en la reprenant contre lui pour essayer d'avoir un peu de sommeil, essayer, en fait il voulait parler à sa femme, encore.

_ Maintenant que vous allez revenir à la maison, on pourrait instaurer un évènement qu'on ferait tous les mois, comme pic niquer au parc ou aller à la plage, tu sais, pour être tous ensemble de temps en temps.

Abi avait soufflé comme s'il lui avait fait échappé une corvée, voir pire et il comprit enfin à quel point elle ne voulait pas de sexe se soir. Elle était prête à lui faire plaisir, mais elle n'en prendrait pas, ce qui n'était pas le but du jeu. Walter la reprit dans ses bras et la serra fort, ça faisait longtemps qu'il n'avait pas pu la protéger comme il le souhaitait. Il se sentait à l'aise et il proposa donc une idée qu'il venait d'avoir comme ça, elle était juste apparue dans sa tête.

_ Sa te plait à toi aussi ?

Fallait que tout le monde soit heureux, sinon il n'allait pas aimer, maintenant il fallait choisir ce qu'ils allaient faire. Walter était pour aller à la plage une fois par mois, mais c'était parce qu'il voulait montrer à son grand comment surfer. Le problème c'est que le fauteuil de Maya dans le sable ce n'était pas top alors elle allait surement dire non. Il y avait le zoo, mais se serait vite ennuyant s'il y allait tous les mois, les pic nique pouvaient être sympa, surtout s'il les faisait... Ben voila, il avait son plan, restait juste à ce que sa femme accepte. Pour cela il aurait du lui dire ce qu'il avait en tête, mais comme un enfant après une longue journée de bêtise, il s'était endormi. Pauvre homme, il était épuisée, surement à cause des émotions, des médicaments qu'il prenait, pi aussi un peu à force de vouloir tout faire bien à longueur de temps. Il ne parlait que rarement dans son sommeil, mais cette nuit ça arriva, il commença à appeler après Abi, doucement, puis de plus en plus fort comme s'il n'arrivait pas à la trouver et il se réveilla en sursaut complètement apeuré. Il regarda autour de lui et la vit là, surement réveillé à cause de ses cris et il se mal.

_ C'était qu'un cauchemar.

_ Tu crois que Maya peut aller partout ? Fin en étant en sécurité ?

Walter proposait des trucs, mais il ne voulait pas que sa fille se fasse mal ou qu'elle se sente mal à l'aise. Il avait beau faire l'aveugle sur la situation, il avait passé des heures et des heures sur son ordinateurs à lire des articles sur ce que sa fille avait, à chercher des solutions aux problèmes qu'ils allaient rencontrés. Le papa avait baissé les bras trop vite avec elle, elle méritait mieux, et maintenant qu'il avait des théories, il devait essayer de les mettre en pratique pour voir si sa fonctionnait. Il voulait réaliser les rêves de sa fille, mais il ne put pas le dire à sa belle parce qu'il s'endormit comme une masse au milieu du lit. Il n'eut pas un long repos, un cauchemar vint le perturber et il se réveilla en criant après sa belle comme s'il la cherchait. Il était mal à l'aise qu'elle le voit comme ça, il était vulnérable, et il était hors de question qu'il lui raconte ce qu'il avait dans la tête, elle allait le prendre pour un dingue.

_ Non...

Il alla se replacer près d'elle, mais sa le travaillait toujours et il se mit entre ses bras comme Logan aurait pu le faire après un cauchemar. Il ne voulait plus fermer les yeux, il avait peur de revoir ce qu'il avait vu, de la perdre, pourtant ce n'était que dans sa tête.

_ Je te voyais disparaitre à chaque fois que je m'approchais de toi et quand tu ré apparaissais, c'était comme si quelqu'un t'avais frappé, comme si je l'avais fait...

_ D'accord princesse, elle ira partout où on ira...

Maya était encore un grand point d'interrogation pour lui, mais si Abi lui disait qu'elle pouvait aller partout, alors elle les suivrait jusqu'au bout du monde. Il sentait quand même venir les heures de musculation pour pouvoir la porter longtemps, pas qu'elle soit lourde, mais après un certain temps elle devait l'être. Ils purent s'endormir sur cette merveilleuse idée de sortie familliale une fois par moi. Un cauchemar vint déranger Walter, il en était tourmenté, mais sa femme était là pour le rassurer. Abi était douée pour calmer les enfants lorsqu'ils se réveillaient dans cet état, il était comme un enfant à cet instant. Il ne voulait pas raconter ce qu'il y avait dans sa tête, pourtant quand il se sentit un peu plus à l'aise dans ses bras, il arriva à s'ouvrir à elle.

_ Je t'ai déjà fait du mal, je... j'ai peur de recommencer.

Walter ne le voulait pas, mais il craignait de pouvoir le faire encore, car il l'avait déjà fait une fois. C'était certes peu probable vu comment il s'en voulait, mais dans sa tête, c'était pire que s'il avait tué une demi douzaine de personnes. Il s'écarta d'elle et s'assit de nouveau en s'appuyant sur le mur derrière lui, il avait besoin d'une minute pour lui, ou il se dirait qu'il n'était pas qu'un sale type, qu'il était capable de faire de grandes choses.

_ Tu veux des pancakes ?

Le jeune homme sentait comme un point sur ses épaules qui le poussait à s'excuser avant même d'avoir fait quelques choses de mal.

Walter avait fait un cauchemar qui le perturbait beaucoup, il n'arrivait pas à oublier. Il ne s'aimait pas tant que ça, il avait tendance à se hair la plupart du temps, et même si sa belle essayait de lui dire de jolies choses, ça ne fonctionnait pas.

_ Je voudrais pouvoir te croire.

Il avait rarement des cauchemars, surtout de ce type et lorsque sa arrivait il avait besoin de temps pour se calmer. Il aurait pu se remettre tranquillement dans les bras de sa femme et essayer de dormir, mais il savait d'avance qu'il ne pourrait pas alors il se redressa pour proposer des pancakes. Elle en rigola, mais il resta très sérieux, il n'était peut être que 2 heure du matin, mais s'il avait le petit déjeuner à 3 heure, c'était bien aussi.

_ J'ai plus sommeil, je vais aller te préparer le petit déjeuner.

Et c'était parti, comme un zombie il sortit du lit et enfila un boxer pour aller cuisiner. Il faisait sombre, pourtant il marchait sans se cogner à rien, il n'alluma que peu de lumière pour cuisiner. Walter se détendait, il faisait des pancakes, du bacon, avait pressé du jus d'orange, fin il ne faisiat pas les choses en petit. Il sursauta tout de même en entendant du bruit, si bien qu'il lacha l'assiette qu'il avait dans les mains, heureusement c'était encore vide, mais sa avait du réveiller Abi.

Walter ne se remettait pas bien de son cauchemar alors il préféra fuir la pièce en laissant sa femme toute seule. Il pouvait voir qu'elle était fatiguée alors elle allait vite se rendormir pendant qu'il cuisinerait. La cuisine s'était juste une passion, son père aurait voulu qu'il en fasse son métier et peut aurait il du faire ça, mais il ne l'avait pas fait, il était avocat. Le jeune homme cuisinait dans la pénombre, il avait juste allumé la lumière de la hotte et essayait de faire le moins de bruit possible. Mais après un coup de vent, une branche cogna la maison ce qui le fit sursauter et il lacha une assiette. Tout aurait pu passer inaperçu si sa n'avait pas résonner dans toute la maison, il fut rapidement sur que sa femme avait entendu parce qu'elle lui parla de l'entre de la pièce. Walter hocha la tête et avança vers elle avec une assiette de pancakes en lui disant bien de ne pas marcher pieds nus avant qu'il n'ai nettoyé.

_ Pancakes ?

Mais comme un bel abruti épuisé, il alla marché en plein dedans pour prendre le balais et se coupa le pied.

_ Aouch !! Merde, je me suis coupé.

Un bobo pour un homme c'est toujours pire, un peu de sang et c'est une hémorragie, c'est bien connu. Ben malgré que walter soit un dur, un peu de sang et il commençaiit à geindre comme un gamin de 4 ans.

Walter faisait le petit déjeuner pour sa femme alors qu'il était 2h du matin. Il avait juste fait un cauchemar qui l'avait retourné, l'empêchant de se rendormir, d'ailleurs il avait toujours un peu peur à un tel point qu'il fit tomber une assiette dans un sursaut. Lui qui voulait laisser dormir sa belle jusqu'à ce que tout soit prêt, c'était loupé, alors il ne fut pas trop surpris de la voir arriver. Elle était toujours aussi jolie, même au réveil, il lui donna des pancakes, sa allait l'occuper et en plus elle ne disait jamais non au pancakes, elle aimait bien trop ça.

_ Ils sont bons ?

Lui aussi était fatigué et il ne fit pas attention en ramassant les restes de l'assiettes, ce qui se termina en coupure. Abi se moqua tout de suite de lui, c'était tout elle, dès qu'il avait mal elle rigolait, mais comme elle s'occupa de ramasser sa bêtise, il ne dit rien et fit semblant de ne pas être blessé. Ben quoi, c'était un gros bobo, y avait du sans et c'était grand ouvert, c'était pas comme avec un enfant où il ne fallait qu'un pansement, fin de son avis de grand blessé, parce que de l'avis d'une personne normale, il ne fallait qu'un pansement.

_ Tu vas mettre le truc qui pique ?

Walter allait questionner sa femme jusqu'à avoir la réponse à cette question, il ne voulait pas le truc qui pique, il détestait ça. Il lui avait dit un jour qu'il préférait mourir d'une infection plutôt que de mettre le truc qui pique, elle lui avait infligé la torture pendant qu'il dormait ce qu'il l'avait réveillé dans la douleur, imaginait l'ambiance pendant le reste de la journée.

Walter s'était coupé le pied avec l'assiette cassé et maintenant il geignait comme un gamin de cinq ans. Heureusement qu'il n'était pas seul, Abi l'envoya au salon et elle le rejoint avec tout ce qu'il fallait pour le soigner. Il avait un peu la trouille parce qu'au milieu de tout il y avait le produit qui pique, sa bête noire.

_ Pep pep, je te vois venir avec ton truc qui pique.

Il voulait juste la prévenir. La rouquine regarda son pied et le rassura un peu, elle était maman après tout, elle savait ce qu'elle avait à dire pour que tout se passe bien. Il se détendit légèrement et s'allongea pour regarder le plafond en attendant qu'elle finisse. En comprenant que ce n'était pas grave, il avait aussi compris pas de désinfectant, il s'était trompé et quand il sentit la bête sur son bobo il se releva d'un coup en faisant une drôle de grimace douloureuse.

_ Sa pique...

Logan devait être plus courageux que lui dans ses situations, lui il était un gros crétin qui se plaignait. Abi mit un pansement par dessus et il la regarda comme s'il lui en voulait de ne pas lui avoir dit toute la vérité sur ce qu'elle faisait, à cause d'elle il avait beaucoup, mais alors beaucoup souffert.

_ T'auras pu de pancakes d'abord.