_ Je vais faire une grande pizza avec plein de fromage, Logan va adorer.

Les enfants aimaient la pizza, Abi aussi et celles avec plein de fromage étaient les meilleures, tout le monde aimait et mangeait. Il avait juste un doute sur le régime de Maya, mais ils pouvait faire une exeption pour un soir, parce que si ça n'était pas pizza il ne savait pas quoi faire. Il était hors de question qu'ils mangent tous pizza alors que la petite mangerait trois feuilles de salade. Il réalisait doucement à quel point Abi et Maya devait souffrir depuis l'accident, lui des conséquences directes, l'autre de voir son enfant dans la tristesse. Mais il était de bonne humeur se soir, rien ne lui enlèverait, fin il croyait ça avant que sa femme lui fasse croire qu'il y avait un autre type dans son lit. Abi savait qu'il allait courir droit dedans le piège, il était haloux et il ne pouvait rien à ça, c'était ça lorsque l'amour prenait le pas sur les autres sentiments. Le jeune homme eut le temps d'être en sur les nerfs avant qu'elle ne lui avoue que c'était Logan. Il avait un peu l'impression qu'elle voulait l'utiliser pour barrière entre eux, mais ils n'en avaient pas besoin, il n'était pas là pour ça.

_ Je ne suis pas là pour... il pourra dormir au milieu.

Walter ne voulait pas qu'elle se fasse de fausses idées sur lui, il aimait le sexe, mais ce n'était pas tout, s'il avait juste aimé ça, ils n'auraient pas eu un mariage si long. Il resta un peu sur sa fin, il était content de pouvoir dormir avec son fils et sa femme, mais il doutait un peu de ce qu'il y avait dans la tête de la rouquine. Il n'eut pas à penser longtemps, parce qu'elle lui apporta une bière pour se faire pardonner et ça fonctionna.

_ Merci.

Le jeune homme ne lui laissa pas le choix que de revenir contre lui et il posa rapidement un bisou sur sa tête. Elle était à lui de nouveau, il n'avait pas besoin de beaucoup plus que d'être assis contre elle et d'avoir son odeur tout autour d'eux. Il délirait peut être un peu en embelissant les choses, mais après presque 2 mois, ce moment était vraiment délicieux.

_ Sa me manquait de ne plus pouvoir être prêt de toi comme ça tous les soirs.

Abi avait du morflé avec le régime que devait suivre Maya, elle n'était pas du genre à faire des salades à tout bout de champs, elle mangeait bien, mais savait s'amuser avec les aliments. La petite fille aussi avait du avoir des mauvais moments, elle adorait les bonnes choses, c'était finis maintenant et avec la pizza qu'il allait faire, ça allait être génial. Tout le monde allait se régaler et il allait garder une grosse part pour Maya, pour le lendemain histoire de rattraper le temps perdu.
La jolie rouquine avait réussi à le taquiner sur cet homme mystérieux qui partagerait le lit avec eux, ce petit monstre de Logan, mais elle ne semblait pas lui faire confiance, ou avoir une mauvaise image de lui. Ce n'était pas comme s'il allait lui sauter dessus, il était là pour passer un bon moment avec sa famille. Logan entre lui et elle, ça ne lui déplaisait pas, il trouverait bien un sujet à explorer ensemble jusqu'à ce qu'Abi les supplit de se taire.

_ Je le serais aussi.

Walter se retrouva avec une bière dans une main et sa femme tout contre lui, c'était le paradis sur terre, il en profitait pour regarder, bisouter et toucher un peu. Il ne s'aventurait pas à toucher comme un abruti, il frôlait juste du bout des doigts le ventre de celle ci, ou son bras, l'os qui descendait vers sa poitrine, il s'amusait juste un peu.

_ Te voir tous les soirs te coucher contre moi sans personne au milieu... pouvoir te regarder dormir... j'aime quand tu es à la maison.

Il attendait vraiment ça avec impatience, il voulait retrouver son quotidien avec sa superbe femme et même avec ses enfants. Le papa savait qu'il allait galéré, mais c'était le prix à payer pour toutes ces années où il avait été un crétin profond.

_ Tu m'aides à cuisiner chérie ?

_ Pauvre petit, je suis sur que tu l'as serré hyper fort toutes les nuits et qu'il n'a pas pu respirer.

Abi l'avait taquiné alors c'était à son tour de le faire. Walter savait que sa femme aimait se sentir protégé lorsqu'elle dormait, il n'avait pas passé une nuit sans qu'elle ne soit contre lui au plus profond de ses bras, mais voila sans lui, elle avait du se tourner vers Logan et ce n'était pas le même gabari. Il avait du souffrir un peu, fin souffrir, c'était un grand mot, il avait du tellement aimé que sa maman aurait pu dormir sur lui qu'il n'aurait rien dit.
Walter avait proposé de faire le repas, et s'il voulait que tout soit prêt à temps avant que la troupe d'enfants affamés n'arrive, il allait falloir se bouger. Il proposa alors à sa femme de l'aider, mais la mémère ne voulait pas faire la pate, surement qu'elle ne voulait pas se salir les mains comme beaucoup de femme. Il s'en moquait, c'était la partie qu'il préférait faire dans la pizza, c'est là qu'il entrait en contact avec la matière, qu'il faisait vraiment quelque chose de concret pour la pizza.

_ Tu me laisses pétrir alors, moi qui croyait que ses mains t'étaient réservées.

Le jeune homme n'avait pas pu s'en empêcher, il voulait vraiment la rendre dingue, dans le bon sens, c'était une gentille taquinerie et il espérait qu'elle l'avait compris, sinon il était mort. Elle le suivit en souriant alors il put souffler. Walter était le chef cuisinier alors il enfila le tablier appartement à sa rouquine et entama la préparation avec sa femme dans son dos.

_ Assistante, je vais avoir besoin d'un peu plus de farine.

Il regretta vite ses mots, la dernière fois qu'il les avait prononcé, elle l'avait sepoudré de farine et il était devenu tout blanc. C'était vachement dur à enlever cette merde, il ne voulait pas que sa arrive encore, du moins, pas seul, alors avant qu'elle ne fasse une bêtise il la regarda en levant ses mains pleines de pate collante et la regarda genre "tu le fais, t'auras de la pate dans les cheveux".

_ Je ne pétris pas ma femme, je la caresse, je devrais essayait ça avec la pate à pizza, toi sa te rend vraiment toute douce.

Walter avait fait marcher sa femme, il adorait la voir rire à ses conneries et sa arrivait souvent, parce qu'il aimait bien en dire pleins. Il était vrai qu'il allait pétrir la pate, mais il ne faisait pas sa à sa femme, il prenait beaucoup plus soin d'elle, il la caressait, avec tendresse et douceur pour ne pas lui faire mal. Ils allèrent ensemble en cuisine et ils se mirent à préparer chacun de leur côté tout ce qu'il fallait pour la pizza, mais à un moment il eut besoin de farine et dut demander de l'aide à sa femme. Des qu'elle se tourna vers lui, il sut qu'elle avait en tpete de lui en mettre partout, mais il avait prévu et ses mains pleines de pate étaient levées, menaçante comme tout. Abi changea d'avis et se conduit plutôt bien alors il la bloqua contre lui en faisant attention de ne pas la salir et lui offrit un petit bisou.

_ T'es la meilleure des assistantes pizza au monde.

Avec la farine qu'elle lui avait amené, il put malaxer la pate et après quelques minutes ce fut finis, il ne restait qu'à la laisser gonfler avant de l'étaler alors il mit tout en place et alla dans le dos de sa femme qui travaillait encore. La rouquine était concentrée pour tout bien faire et c'était vraiment mignon à regarder, elle ressemblait énormément à Chloé lorsqu'elle était comme ça. En pensant à sa petite fille, il pensa aussi à tous les autres et il devint impatient, il les voulait la tout de suite avec eux.

_ Quand est ce que les enfants rentrent ?

_ C'est parce que tu mets un tas de crème sur ton corps... après t'es toute douce et tu sens bon.

Encore une fois c'était un peu maladroit, il n'aimait pas quand elle passait 20 ans dans la salle de bain pour se pomponer, mais il aimait beaucoup le résultat final. De toutes façons, Abigaïl était parfaite, c'était la plus jolie de femmes et il était raide dingue depuis qu'il avait 18, 19 ans.
Ensemble ils se mirent à cuisiner, mais la miss était plutôt joueuse, voir même indisciplinée, mais il avait la technique infaillible pour la faire se tenir à carreau, un bisou d'amoureux. Ca fonctionna et elle reprit son boulot sans faire de vague, fin si, mais c'était juste une petite erreur de parole, et aussi qu'il était un peu trop accroché à son passé.

_ Je suis pas cuistot Abi, tu le sais.

Walter n'aimait juste pas qu'elle l'appelle cuistot ou tout ce même genre de surnom, elle le savait, il s'en voulait toujours beaucoup d'avoir déçu son père, c'était toujours en lui. Il se sentait toujours crétin d'avoir dit non à un avenir sur. Le pire c'était qu'il était doué dans une cuisine, il finit donc la pate et alla dans le dos de sa femme avant même qu'elle n'ai tout finis. Elle grignottait, il ne pouvait pas lui en vouloir pour ça, c'était une femme, fallait faire des réserves.

_ C'est pas mieux qu'on leur fasse la surprise quand ils rentrent ? Une pizza et moi.

Le papa ne refusait pas d'aller chercher ses enfants à l'école, il ne voulait juste pas se faire rejetter en public si sa devait arriver, il pouvait attendre ici et faire la pizza pour qu'elle soit chaude à leur arrivée. Il avait juste peur, mais ce n'était pas quelques choses qu'il pouvait dire à voie haute, il avait trop d'égo pour ça. Walter finit sa bière et demanda à Abi s'il pouvait s'occuper d'aller en chercher un, juste un des cinq pour voir s'il en était capable par lui même.

Bien sur qu'il aimait le résultat à la sortie de la salle de bain, il l'aimait même avant la salle de bain, Abi était son amoureuse parfaite qu'il aimait tout le temps. Ils ne causèrent pas longtemps à propos de ça parce qu'ils devaient préparer la pizza et ils le firent bien. Abi dit une petite bêtise, mais il ne pouvait pas lui en vouloir, c'était de sa faute après tout s'il avait déçu tout le monde dans sa famille, il ne pouvait pas engueuler Abi pour un truc qu'elle n'avait pas fait.
Walter devenait déjà impatient, il voulait les enfants tout de suite, mais ça n'allait pas se faire comme ça. Sa belle lui proposa d'aller avec elle les chercher, mais il déclina l'invitation avant de revenir sur sa parole, c'était le moment de faire des efforts. Abi en fit aussi pour lui et lui proposa de prendre juste une partie des enfants, mais ce qui l'étonna c'est qu'elle inclut Maya dans le projet.

_ Tu me fais confiance avec Maya ?

C'était bizarre, Walter pensait sérieusement qu'il n'auriat plus le droit d'être en tête à tête avec sa fille, qu'il allait lui falloir la présence de sa femme pour toujours, pourtant aujourd'hui elle lui demandait d'aller la chercher. C'était une grande confiance qu'elle lui offrait là et il décida de saisir l'opportunité pour lui montrer qu'il en était capable, il s'en savait capable, même s'il flippait un max.

_ Je vais essayer d'aller chercher les filles...

Walter avait l'opportunité d'aller chercher ses filles à l'école et c'était important pour lui, plus que toutes les autres fois ou il avait eu à le faire. Cette fois il n'avait pas le droit à l'erreur, il allait devoir assurer et en particulier avec Maya. Il pouvait le faire, les jumelles lui fileraient un coup de pouce et se serait dans la poche, après il aurait juste à conduire jusqu'à l'appartement, n'empêche qu'il flippait.

_ Je sais qu'elles pourront m'aider, mais j'aimerai être capable de pouvoir l'aider par moi même.

C'était un truc de papa, il devait savoir faire pour ses enfants et pas le contraire, hors c'était le cas ici, il avait du boulot. Walter voulait apprendre à être un bon père, il allait y arriver, pi maintenant il allait demander de l'aide à Abi, il voulait vraiment que son couple fonctionne et c'était ce qui les séparait le plus en se moment.

_ Abi... merci de me laisser une nouvelle chance.

Il la vola au plan de travail et sans l'embrasser ni rien, juste en la regardant il lui fit comprendre que c'était vraiment important pour lui et qu'il n'allait pas laisser passer cette chance. Bon les jumelles sa allait être facile, mais Maya... une autre histoire.

_ J'ai pas de siège pour Maya dans ma voiture... ni pour les jumelles, tu crois que sa ira si j'utilises celui que j'ai pour Logan pour Maya ?

_ Je vais la rendre heureuse.

Walter devait reprendre de zéro avec les enfants et sa femme lui donnait cette chance alors il allait la saisir et tout faire pour que sa fonctionne. Il était prêt à faire des trucs qu'il n'aimait pas pour eux, comme aller au centre commerciale ou se ballader dans une fête forraine, il pourrait aller jusqu'à inviter un clown pour un anniversaire, alors qu'il détestait les clowns, en fait il en avait peur. Le papa devait donc allait chercher les filles à l'écoles, mais sa voiture n'était pas adapté et grand dieu, il ne prendrait pas le risque de les mettre en danger alors il trouva un terrain d'entente avec sa belle.

_ On échange les voitures, d'accord.

Le jeune homme était déja frétillant, comme un petit poisson frit, à l'idée d'aller chercher ses gamines, il n'était pas l'heure, mais il voulait déjà y aller. Il commença à tourner en rond dans la cuisine tout en regardant l'heure toutes les deux secondes avant de s'arrêter à côté d'Abi. Il l'aida à finir et fit sa si vite que sa n'avança en aucun moyen le temps. Il ne s'en sortaot pas du tout.

_ On devriat y aller, je veux pas être en retard.

Il ne pourrait pas être en retard en partant une demi heure en avance, c'était sur ça, mais on lui donnait ses enfants, il ne pouvait plus attendre, c'était un enjeux trop important...

Abi lui faisait confiance pour aller chercher les filles et il était tout impatient, il tournait en rond sans savoir quoi faire de ses mains. Il aurait voulu que le temps passe plus vite pour pouvoir y aller tout de suite. Il était dans le même état que lorsqu'il avait épousé Abi, ne pas la voir arriver à l'autel l'avait rendu nerveux comme tout, mais elle était juste un peu en retard, elle était magnifique se jour là, mais lui il était juste très impatient. De toutes façons, il détestait attendre, tout le monde savait ça. Heureusement que sa femme était là pour le faire penser à autre chose, elle parla d'une maman qui soit disant flashait sur lui, mais il n'avait rien vu.

_ C'est qui celle là déjà ?

walter avait vu que cette maman l'observait beaucoup, mais il s'en moquait et n'avait jamais parlé avec elle, il n'en avait pas du tout envie. Sa petite rouquine faisait la tête, elle était toute mignonne et il alla la prendre dans ses bras pour la rassurer.

_ Soit pas jalouse, c'est pour toi que j'ai fait de la pizza se soir ^^.

Il était amoureux d'une femme, d'une seule, il n'allait pas la trahir, surtout pas maintenant. Il fit venir sa femme avec lui sur le canapé et il reprit la même position qu'avant, il savait que comme ça il pouvait la calmer.

_ Je serais juste à l'heure pour pas qu'elle me voit.

_ Mais j'ai que ça à offrir alors dommage pour elle.

Walter avait bien plus qu'une pizza à offrir, mais pas pour une autre femme qu'Abi, son amour lui était reservé à 100%. Elle était jalouse, ce qui changeait grandement de d'habitude où il était le grand jaloux parano qui voyait des hommes observaient sa femme de partout. Il en était un peu fier, elle lui prouvait qu'elle tenait à lui d'une manière qu'il comprenait, ben oui, il l'utilisait souvent. Il accepta quand même de partir à la dernière minute pour ne pas que la mère de cette certaine Léa ne le matte, mais ce que rajouta sa femme le fit rire. Pas méchamment bien sur, mais il rigola quand même.

_ Mais mes fesses vont se sentir seules si personne les regarde.

Ego quand tu nous tiens. Tout le monde aimait les fesses de Walter, c'était les plus belles, même lui les adoraient, mais pour que sa se sache, fallait les montrer, leur faire un peu de pub. C'était surement cette partie là qui faisait hurler Abi, le fait qu'il soit si fier de son corps qu'il veuille l'exhiber. Il n'y pensa pas longtemps parce qu'il voulait vraiment y aller, alors comme tous les enfants durant un long trajet, il entama le jeu ou je répète la question ving mille fois pour faire craquer l'adulte.

_ C'est l'heure ?

_ Tu veux les voir ?

Walter ne faisait que la taquiner, elle pouvait voir son arrière train quand bon lui semblait, elle était une chanceuse, mais il ne pouvait pas empêcher les autres femmes de les regarder. Elle était jalouse à propos de ça, et il ne semblait pas comprendre, mais c'était juste parce qu'il ne voulait pas ouvrir les yeux et avouer qu'il faisait exactement pareil pour elle. Ils formaient un joli petit couple tous les deux, un vrai couple d'amoureux.
Le papa voulait déjà aller chercher ses filles à l'école, il était impatient, on aurait dit l'âne dans Shreck, en pire, il voulait vraiment partir tout de suite pour pouvoir être à l'heure, mais ce n'était pas de l'avis de sa femme. Elle ne voulait pas qu'il parte pour arriver à l'avance, elle avait peut petre raison, mais il fallait qu'il joue au crétin et qu'il l'emmerde un peu, sinon sa n'aurait pas été lui.

_ Oh oui, baillone moi !!

Il avait dit ça avec un énorme sourire très joueur comme on lui connaissait dans ce genre de contexte un peu ambigü. Le jeune homme se tenta à dire encore une fois la phrase qui embêtait sa femme et quand il vit le regard de celle ci il alla pour l'embrasser. Un baiser qui devait lui faire comprendre que le bailloner l'empêcherait d'avoir des bisous magiques comme celui ci.

_ Si sa ne tenait qu'à moi, je t'aurais menotté sur le balcon ^^.

_ Je t'en pris, fait toi plaisir.

Le jeune homme se leva et se mit debout juste devant elle pour qu'elle puisse voir ses fesses. Elle allait se rincer l'oeil deux minutes et après elle recommencerait avec sa jalousie. Abi était vraiment mignonne en était jalouse comme ça, elle le faisait craquer.
Walter l'agaçait en demandant à répétion quand est ce qu'il devait aller chercher les enfants, il savait qu'il l'embêtait, et c'est pour cela qu'il continuait. Aller savoir comment, ça tourna à la découverte de truc pervers, la rouquine parlait de le bailloner et n'était pas contre les menottes, une petite coquine en fait. Bien sur ce n'était que pour jouer avec elle, même s'il aimait en parler, il n'allait pas user d'accessoires avec sa princesse, il préférait être tendre avec elle.

_ Hummm utilisation des menottes tolérée, je note.

Sa femme avait des petites joues rouges très choupi. Elle reçut donc un baiser tendre avant de voir son mari se lever en attrapant ses clefs de voiture. Il ne tenait plus, parler sexe ça ne l'occupait même pas assez pour tout vous dire alors il fit signe à Abi de bouger, parce qu'ils y allaient.

_ Allez hop femme, on y va, on va passer leur acheter quelques bonbons avant d'aller à l'école.